37°, température parfaite pour se promener sans transpirer... (¡Vamos a quemar un poquito!).
De bon midi, je suis parti en quête du plus grand magasin asiatique de Madriz que j'ai eu beaucoup de mal à trouver et que j'avais déjà cherché la veille. Il est censé être dans un coin sympa : la Plaza de España, relativement verte et présentant une référence culturelle (inter)nationale.
Pour bien visiter, il faut descendre du métro quand on le sent, sans regarder le trajet de la ligne. Je suis donc naturellement descendu 2 stations trop tôt. Toujours dans le centre, mais dans des rues un poil plus calmes.
(les fameuses bonbonnes de gaz de Madriz, transportées par charretée)
En suivant le danger explosif, j'ai fini par atteindre la fameuse Place.
(voilà, c'est ça la référence culturelle, un type à cheval avec un copain ; ils sont supposés attaquer des moulins ou je sais pas quoi. J'ai pas bien compris, mais il paraît qu'il est connu. En tout cas ici.)
Un peu plus loin : le Palacio Real et son jardin ouest. Un monument énorme, le plus grand palais d'Europe de l'Ouest (135 000 m² et plus de 3000 pièces, le truc qu'on peut pas prendre en photo en entier). La version antérieure du palais a brûlé en 1734. En 1738, ils décident de le reconstruire. Il abrite la plus grande collection de Stradivarius au monde. C'est la résidence protocolaire des Rois d'Espagne depuis les années 1930. Les gens à qui on coupe la tête habitent en fait au Palacio de la Zarzuela, c'est en dehors de Madriz.
(L'entrée du jardin ouest. C'est assez rare de voir aussi loin ici.)
(Alfonso ! Qu'est-ce que j't'ai dit bondjou ? No juegues con el agua!)
(l'arrière du jardin avec la finesse espagnole : les poubz. Habilement noyées dans la verdure)
(une fontaine en face du Palais Royal, j'attendais la connerie avec impatience, mais la sagesse l'a emporté et l'acrobate est redescendue)
Toujours des statues de Rois et nobles en face du Palais, comme dans les jardins. C'est maintenant devenu un dangereux repaire de Pigeons et autres Chinois vendeurs d'éventails.
(Alfonso, on t'a chié dessus)
Retour vers le centre ville et la jungle urbaine pour atteindre le Central Park de Madriz (et son ombre surtout) : el Buen Retiro (le Bon Retire)
Et pour quelques dizaines de minutes, le bruit des voitures s'est effacé...
J'ai pris le chemin du retour quand j'ai commencé à me faire agresser par différents types de mammifères marins...
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire