Ca fait un moment que ça dort par ici, mais les vacances reviennent avec de nouveaux voyages fabuleux, des aventures hallucinantes, plus de sarcamse, moins de cyclimse, et toujours des images pour ceux qui ne savent pas lire.
Le blog va donc se ranimer pour quelques billets histoire de faire un peu le tour des villes essentielles de Hongrie et de sa culture.
C'est parti.
Départ 9h de Rennes, arrivée à 11H25 à Paris, premier métro 2 minutes plus tard, deuxième métro attrapé en courant comme un cinglé pour sortir à Porte Maillot pour trouver le bus menant à Beauvais. Bien sûr, quand je l’ai trouvé, le bus partait déjà pour l’aéroport, juste le temps de piquer un autre sprint pour lui dire d’attendre votre serviteur.
Timing serré !
J’arrive donc à l’aéroport, mon endroit favori pour dormir. Je vous le donne en mille, mon avion (Wizz Air) était encore annoncé en retard. Quinze minutes, rien de méchant. En effet, 15 minutes après l’heure officielle d’embarquement, j’étais dans l’avion. Le pilote hongrois a alors commencé un speech en anglais très propre pour nous dire qu’il y a des restrictions sur le trafic aérien sur la route qu’on devait emprunter à l’origine, donc qu’on doit soit attendre 2H, soit décoller plus tôt pour passer par ailleurs, ce qu’on a fait. Nous avons donc décollé avec 52 minutes de retard. La classe.
Le pilote a fait le discours d’intro le plus long de l’histoire de l’aviation, très pro, très classe, très informatif. Un bon commandant, quoi ! J’ai changé d’avis au moment de reprendre contact avec notre bonne vieille Terre. Disons qu’on était sûr d’être de retour au sol. Et les gens ont applaudi…
Applaudir après l’atterrissage mériterait un billet à lui seul sur ce blog tellement ça me passionne.
Premier constat en arrivant : c’est l’été en Hongrie (pas en Bretagne).
C'est donc parti pour 2 semaines de vacances en Hongrie, logé chez l'habitante et guidé par l'habitante !
Un petit aperçu des routes près de Gödöllő (sur laquelle nous reviendrons), rien de toursitique ou de spécial, juste histoire de voir le style des routes sans prétention. Le prochain billet sera consacré à Budapest, et là ça va claquer, croyez-moi !
Restez branchés !
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